lundi 19 avril 2010

Le PSYCHO de la semaine. (Issei SAGAWA) -Necrophile / Cannibale.

HI WORLD !!! Le lundi matin c'est toujours difficile, hein? Alors, pour prendre le bon élan et apprécier la vie qui nous est offerte, commençons fort, avec un nouvel Héros à étudier pendant toute la semaine! Notre cher (chaire) et tendre icône Japonais Sagawa se fera un plaisir de nous en dire plus sur son mode de vie.. Multiple reportage / livres dispo un peu partout mais surtout sur internet!

MIAM.

Nous sommes, à Paris, au mois de juin 1981. Un étudiant japonais de 32 ans, inscrit à la Sorbonne, invite chez lui une jeune Hollandaise de vingt-cinq ans, Renée Hartevelt.

Renée repousse alors ses avances, ce qui ne refroidit pas Segawa. Il la tue d'une balle dans la tête. La viole, et pendant trois jours va se « délecter » de son cadavre. Il la dépèce et la mange.

Après plusieurs péripéties, il réussit à se débarrasser du corps dans le bois de Boulogne. Malheureusement, pour lui, un couple de passant aperçoit son petit manége. Rapidement arrêté, il est reconnaît les faits pendant son interrogatoire avec force détails.

Il est incarcéré jusqu'en 1983, il bénéficie alors d'un non-lieu pour démence au moment des faits. Il est ensuite interné dans un hôpital psychiatrique.

Un an plus tard, grâce à l'influence de sa famille, le « cannibale japonais » est de retour à Tokyo à la condition d'y suivre un traitement psychiatrique. Après examen, les psychiatres le déclarent sain d'esprit et le libèrent.

Sagawa devient en quelques mois une véritables star des medias. Sujet de plusieurs articles et documentaires, plus de 300 livres lui ont été consacrés (notamment en français Le Japonais cannibale de Patrick Duval et L'affaire Issei Sagawa œuvre collective parue aux Éditions Fleuve noir).


De la même façon, on ne compte plus ses apparitions télévisées en tant que critique culinaire ou sur grand écran (Shisenjo No Aria, The bedroom en anglais, un film qui parle de prostituées atrocement mutilées...).


à l'heure actuelle, Sagawa vit en parti des royalties de ses livres, mais également grâce aux subsides que lui versent ses parents (à presque 60 ans !).

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